Cartographie des données : Optimisez vos processus

Pourquoi la cartographie des données est-elle une étape cruciale pour une entreprise ?

La cartographie des données est le processus fondamental qui aux entreprises d’identifier ses sources de données, ses traitements, et les flux de données internes et externes. Elle est indispensable pour garantir une mise en conformité avec le RGPD, assurer la protection des données personnelles, publier des pratiques propres et transparentes et améliorer l’utilisation des données des interventions métiers.

Que doit contenir une cartographie de données conforme ?

Une cartographie conforme inclut : les champs de données, les sources de données, les objectifs des traitements, les flux de données, la base légale, les durées de conservation, et les mesures de protection. Elle permet aussi de relier chaque traitement à un processus métier établi et à un responsable. 

Ce mappage des données offre une base solide pour toutes les interventions de gouvernance, d’audit ou de conformité.

Faut-il cartographier toutes les données d’une entreprise ?

Non, il n’est pas nécessaire de cartographier immédiatement tous les ensembles de données. Il est recommandé aux entreprises de prioriser les sources de données les plus critiques ou à fort impact en matière de protection des données personnelles : données clients, RH, financières… L’objectif de la cartographie est de documenter les flux de données, les traitements, et les processus de données associés. Il est préférable d’avancer par étapes claires, en commençant par les bases de données à haut risque ou à forte valeur métier.

Combien de temps dure un projet de cartographie des données ?

La durée du projet dépend de plusieurs facteurs : taille de l’entreprise, nombre de traitements, volume d’informations, choix entre cartographie manuelle ou cartographie automatisée des données. Un projet peut durer de quelques semaines (périmètre limité, usage d’un outil simple) à plusieurs mois (mappage global, intégration des données complexes, visualisations croisées, mise en œuvre d’un outil spécialisé). La cartographie étant un processus continu, il convient aussi de prévoir des mises à jour régulières.

La cartographie est-elle obligatoire selon le RGPD ?

La cartographie des données n’est pas expressément exigée par le RGPD, mais elle est indispensable pour établir le registre de traitements, qui lui est obligatoire (article 30). Elle permet de documenter les connexions entre les données, les bases légales, les finalités, et les mesures de protection. En pratique, elle est la base de toute mise en conformité d’une entreprise. Sans cartographie, il est difficile de répondre aux exigences en matière de droits des personnes, d’analyses d’impact ou de gestion des risques.

Introduction

Dans un environnement numérique où les données sont devenues un actif stratégique, les organisations doivent savoir où se trouvent leurs données, comment elles circulent et à quoi elles servent.

Cette visibilité est indispensable pour garantir une gestion efficace des données, tant du point de vue réglementaire (RGPD) que de la sécurité et de l’optimisation des processus métier.

Ce guide complet propose d’expliquer les principes de la cartographie des données, ses bénéfices, la manière de la réaliser, ainsi que les bons réflexes pour la maintenir à jour et en tirer le meilleur parti.

Qu’est-ce que la cartographie des données ?

Définition et concepts clés

La cartographie des données consiste à identifier, organiser, décrire et visualiser les données traitées par une organisation. Elle permet de dresser un inventaire détaillé des données traitées par une organisation tout en représentant les flux d’information entre les services, les applications, les sous-traitants et les destinataires.

Concrètement, il s’agit de recenser chaque type de donnée (données clients, données RH, données financières), d’indiquer où ces données sont stockées (bases de données, serveurs, applications cloud…) et de décrire les traitements qui leur sont appliqués (collecte, utilisation, partage, conservation, effacement, etc.).

La cartographie des données permet d’obtenir une vision globale des data en circulationdans l’entreprise et de savoir quelle donnée est traitée, par qui, où et dans quel but, garantissant l’accessibilité des données par tous et pour tous.

Différence entre cartographie des données et inventaire des données

Bien que proches, la cartographie et l’inventaire sont deux démarches différentes :

  • L’inventaire des données est un relevé exhaustif des données collectées et traitées.
  • La cartographie ajoute une dimension dynamique et visuelle car elle met en lumière les déplacements, les interactions et les responsabilités.

La CNIL recommande d’ailleurs, comme point de départ de toute démarche de conformité, de cartographier le traitement des données pour n’en oublier aucun.

Types de données cartographiées

La nature des données peut être multiple. Il peut s’agir de :

  • Données personnelles : nom, adresse, e-mail.
  • Données sensibles : santé, opinions politiques, origine ethnique.
  • Données financières : salaires, factures, transactions.
  • Données techniques : adresses IP, logs, métadonnées.
  • Données opérationnelles : performances, statistiques métiers.

Pourquoi cartographier ses données ?

La cartographie demande un effort initial, mais les bénéfices pour l’organisation sont multiples. Cartographier ses données répond d’abord à des obligations de conformité et de gouvernance, mais aussi à des objectifs opérationnels et stratégiques.

Voici les principales raisons pour lesquelles la cartographie des données est essentielle :

Conformité au RGPD et autres réglementations

Le RGPD impose une documentation précise des traitements de données.

La cartographie :

  • Facilite la constitution du registre de traitement (exigé par l’article 30 du RGPD)
  • Précise les bases légales et les finalités.
  • Identifie les transferts hors UE.

Il est à noter que même les organisations qui ne sont pas strictement soumises à l’obligation légale du registre ont tout intérêt à maintenir une cartographie de leurs données, en cas de contrôle ou d’incident.

Amélioration de la gouvernance des données

Une cartographie des données bien menée permet de prendre des décisions éclairées sur leur exploitation afin d’instaurer une gouvernance efficace, en clarifiant les rôles et responsabilités, en identifiant les référents et en harmonisant les pratiques de gestion.

Optimisation de la gestion des données

Comprendre les données et leurs mouvements dans le système informatique permet de :

  • Réduire les redondances.
  • Automatiser certaines étapes.
  • Améliorer l’efficacité opérationnelle.

En identifiant que telle information est dupliquée dans plusieurs systèmes ou que certaines données sont conservées inutilement, l’organisation peut rationaliser ses traitements. Cela conduit à une meilleure efficacité opérationnelle (moins de doublons, des processus plus fluides) et peut faire gagner du temps aux équipes qui sauront plus facilement où trouver l’information dont elles ont besoin.

Identification des risques et vulnérabilités

Elle met en évidence les points critiques (accès, traitements, transferts), permettant une analyse de risques plus pertinente et la mise en place de mesures de sécurité ciblées.

Disposer d’une vue d’ensemble des données sensibles aide à mieux les protéger. En identifiant clairement où se situent les informations importantes et comment elles circulent, l’entreprise peut mettre en place des mesures de sécurité adaptées (chiffrement, contrôles d’accès, suivi des accès) pour prévenir les fuites de données ou les accès non autorisés.

Comment cartographier ses données ? Méthodologie étape par étape

Le processus de cartographie des données peut paraître complexe, mais elle se déroule généralement en plusieurs étapes structurées. En suivant une méthode pas à pas, il est possible de couvrir progressivement le périmètre de l’organisation.

Voici les étapes clés, conseillées par la CNIL, pour cartographier efficacement ses données :

Étape 1 : Définir les objectifs et la portée

Il convient de commencer par cadrer la démarche :

  • Déterminer les périmètres concernés (RH, clients, fournisseurs...).
  • Clarifier les finalités (améliore la conformité, optimise la performance, sécurité...).
  • Lister les parties prenantes à impliquer.

Étape 2 : Identifier les sources de données

Recenser toutes les sources de données existantes. Cela inclut :

  • Les applications (sites web, applications métiers, CRM, ERP…)
  • Les bases de données
  • Les fichiers partagés
  • Les formulaires papiers

Étape 3 : Classifier et catégoriser les données

Pour chaque source ou processus, il faut indiquer les données qui y sont traitées.

Classer selon :

  • La catégorie : permet de savoir s’il s’agit de données à caractère personnel au sens du RGPD, si elles contiennent des informations sensibles ou confidentielles comme des données de santé.
  • Le niveau de criticité : permet de prioriser les efforts par la suite (par exemple, appliquer des mesures de sécurité renforcées sur les données les plus sensibles ou réaliser une analyse d’impact (AIPD) pour les traitements à risque élevé).
  • Le service ou le processus associé.

Étape 4 : Décrire les flux de données et les traitements

Il est nécessaire de documenter, pour chaque ensemble de données identifié, le cycle de vie de la donnée en répondant à ces questions :

  • Où et comment la donnée est-elle collectée
  • Qui y accède ?
  • Est-elle transférée vers d’autres services ou à des partenaires externes ?

Lister :

  • Les traitements effectués (collecte, analyse, stockage...)
  • Les circulations internes et externes
  • Les canaux de transfert (API, mails, formulaires...)

L’objectif est d’avoir pour chaque type de donnée une vue de son parcours complet, du moment où elle entre dans le système jusqu’à sa suppression éventuelle.

Étape 5 : Documenter les informations essentielles

La cartographie doit aussi préciser :

  • Le responsable du traitement
  • Le lieu de stockage : les bases de données, serveurs, archives, fournisseurs cloud, et autres supports contenant les informations
  • Les obligations associées aux données traitées : durée de conservation légale, exigences contractuelles, intérêt public
  • Les mesures de sécurité : chiffrement, pseudonymisation, contrôle d’accès, sauvegardes

Étape 6 : Mettre à jour et maintenir la cartographie

Mettre en place un processus d’actualisation régulière, notamment lors de :

  • L’évolution des outils ou des traitements
  • L'apport de nouveaux projets
  • Les audits internes ou externes

Une cartographie des données n’est utile que si elle reste vivante : une fois documentée, elle doit évoluer avec l’organisation.

Techniques de cartographie des données

La manière de cartographier les données dépend fortement des ressources disponibles, de la maturité de l’organisation et de la complexité de son système d’information.

Trois grandes approches se distinguent, chacune présentant des avantages et des limites :

Cartographie manuelle

La méthode manuelle est historiquement la plus utilisée, notamment dans les premières démarches RGPD. Elle repose sur l'intervention des équipes métiers et techniques pour identifier les données, décrire les flux et comprendre les traitements.

Elle inclut des entretiens et ateliers avec les collaborateurs clés, une analyse documentaire (lecture des procédures internes, contrats de sous-traitance, fiches de processus, audits précédents), la création de schémas manuels représentant les déplacements de données entre systèmes, services, ou partenaires.

Avantages :

  • Très pédagogique pour impliquer les métiers et renforcer la culture de conformité.
  • Permet de bien comprendre les spécificités organisationnelles.
  • Idéale pour démarrer sur un périmètre restreint ou dans des structures peu outillées.

Inconvénients :

  • Chronophage et fortement dépendante de la disponibilité des interlocuteurs.
  • Risque d’erreurs ou d’oublis si les déclarations des équipes ne sont pas vérifiées.
  • Mise à jour laborieuse sans outil de suivi.

Cartographie semi-automatisée

Cette méthode hybride combine l’automatisation de certaines tâches techniques avec une validation humaine métier. Typiquement, on utilise des outils pour scanner certaines bases de données ou identifier des métadonnées, tout en conservant un contrôle humain sur la qualification, la validation ou la visualisation des flux.

Avantages :

  • Gain de temps significatif sur le recensement technique.
  • Meilleure précision et couverture sur les systèmes complexes.
  • Bon compromis entre effort humain et performance.

Inconvénients :

  • Nécessite des compétences techniques pour interpréter les résultats.
  • Repose sur la qualité et l’interopérabilité des outils.
  • Moins adapté à des environnements très hétérogènes ou non numérisés.

Cartographie automatisée

L’approche automatisée repose sur des outils spécialisés capables de scanner l’ensemble du système d’information pour identifier et cartographier les données en temps réel.

Ces outils s’intègrent à plusieurs sources (bases de données, applications cloud, serveurs, fichiers), analysent automatiquement les contenus pour reconnaître les types de données et génèrent des visualisations dynamiques des flux de données.

Avantages :

  • Automatisation des tâches fastidieuses.
  • Capacité à détecter des données “oubliées” (shadow IT).
  • Cartographie toujours à jour si bien intégrée.

Inconvénients :

  • Coût élevé à l’acquisition et au déploiement.
  • Courbe d’apprentissage pour les utilisateurs.
  • Peut nécessiter un audit en amont pour garantir l’exhaustivité.

En somme, cartographier ses données revient à mettre la sécurité en amont, en ayant une vision claire de ce qui doit être protégé et comment. C’est un élément fondamental pour bâtir une stratégie de cybersécurité efficace.

Outils et logiciels pour la cartographie des données

La cartographie des données personnelles repose sur l’identification, la classification et la visualisation des flux d’information au sein de l’organisation. Pour répondre à ces enjeux, les outils spécialisés sont devenus incontournables.

Parmi eux, ProDPO se distingue comme une solution clé pour structurer efficacement la cartographie des traitements. Ce logiciel permet non seulement de centraliser l’ensemble des opérations sur les données personnelles dans un registre des traitements conforme au RGPD, mais il intègre également des fonctionnalités avancées de visualisation des flux, d’automatisation des audits de conformité et de gestion des incidents. Grâce à ProDPO, les responsables de la protection des données peuvent établir une cartographie dynamique, contextualisée et directement exploitable.

À côté de ProDPO, d’autres outils peuvent compléter la démarche :

  • Plateformes de gouvernance des données : elles permettent un catalogage structuré et offrent une vision globale des actifs informationnels.
  • Outils de cartographie métier : utiles pour modéliser les processus, ces solutions relient les traitements aux unités organisationnelles, facilitant l’analyse transverse des flux.
  • Solutions open source (Apache Atlas, Amundsen) : puissantes mais plus techniques, elles nécessitent un effort d’intégration et de maintenance plus important.

Critères de sélection

Avant d’investir dans un outil de cartographie des données, posez-vous les bonnes questions :

  • Compatibilité avec les systèmes existants (bases SQL/NoSQL, ERP, CRM, cloud, fichiers).
  • Facilité d’utilisation pour les utilisateurs métiers et non techniques.
  • Capacité de visualisation de la data (schémas interactifs, tableaux de bord, export).
  • Gestion collaborative (rôles, commentaires, notifications, workflows).
  • Fonctionnalités de mise à jour automatique ou de suivi des évolutions.
  • Reporting RGPD intégré (génération du registre, documentation des AIPD).

Exemples concrets de cartographie

Cartographie des données clients

  • Sources : formulaires web, applications mobiles, centres d’appels, réseaux sociaux.
  • Données collectées : nom, e-mail, téléphone, historique d’achat, navigation.
  • Finalités : prospection commerciale, service client, facturation.
  • Flux : front web → CRM (Salesforce) → ERP (facturation) → archivage sur serveur sécurisé.
  • Points de vigilance : consentement, droit d’opposition, transferts hors UE (USA, Chine), durée de conservation.

Cartographie des données financières

  • Sources : logiciel de comptabilité, factures fournisseurs, relevés bancaires.
  • Données collectées : montants, IBAN, numéros de TVA, transactions.
  • Finalités : reporting comptable, audit externe, obligations fiscales.
  • Flux : service achat → service comptabilité → auditeur externe.
  • Points de vigilance : données sensibles, contrôle d’accès fort, journalisation, conservation à 10 ans.

Cartographie des données RH

  • Sources : logiciels SIRH, CV, entretiens, badgeuses.
  • Données collectées : identité, informations de contrat, suivi des absences, évaluations.
  • Finalités : gestion administrative du personnel, paie, carrière, obligations légales.
  • Flux : recrutement → RH → paie → organisme externe (URSSAF, mutuelle).
  • Points de vigilance : données sensibles, secret professionnel RH, durée de conservation encadrée.

Meilleures pratiques pour une cartographie efficace

Mettre en place une cartographie de données est un projet important, et il convient d’adopter quelques bonnes pratiques pour en garantir le succès sur le long terme.

Voici quelques conseils pratiques à destination des professionnels souhaitant faire de la cartographie un outil vivant et utile.

  • Travailler en collaboration avec les métiers : la cartographie des données n’est pas qu’un sujet IT ou RGPD : les métiers (Marketing, RH, Finance) détiennent la connaissance des données qu’ils manipulent.
  • Adopter une méthodologie claire et reproductible : l’important est d’obtenir une vision d’ensemble exploitable, sans se perdre dans les détails qui rendraient la tâche titanesque et démotiveraient les équipes.
  • Prévoir une gouvernance de la cartographie : il est recommandé de désigner un responsable pour maintenir à jour les informations de son périmètre et communiquer la cartographie au sein de l’organisation.
  • Mettre en place un suivi régulier et des indicateurs de qualité : prévoir un point régulier pour examiner les évolutions de la cartographie, éviter qu’elle ne devienne obsolète et améliorer les pratiques de gestion des données.
  • Sécuriser l’accès à la cartographie elle-même (données sensibles) : elle peut révéler des dysfonctionnements (ex. flux non sécurisé), il est donc essentiel de limiter son accès pour éviter les violations de données.

Une cartographie bien tenue devient un véritable atout : elle facilite les audits, simplifie les réponses aux demandes des clients sur leurs données, accélère les analyses d’impact et, en cas de crise (cyberattaque, violation), elle sert de boussole pour réagir rapidement.

Conclusion

Que ce soit pour se conformer aux exigences réglementaires telles que le RGPD, renforcer sa posture de sécurité face aux cybermenaces, ou optimiser ses processus internes, la cartographie de données constitue pour chaque entreprise une étape stratégique inévitable. Elle permet de structurer le traitement de la donnée, d’identifier précisément chaque source de données, chaque base de données et de mieux comprendre les relations entre les données ainsi que les connexions établies par l’outil utilisé.

Bien plus qu’un simple outil de conformité, la cartographie manuelle des données ou automatisée soutient des initiatives de gouvernance ambitieuses, améliore la qualité des données, renforce l’accès aux données utiles et facilite la création de rapports fiables et auditables. En facilitant une manipulation propre et sécurisée des informations, elle offre un recours clair pour piloter les interventions métiers et IT de manière coordonnée.

Elle participe ainsi à la prise de décision, soutient la cohérence des traitements connexes, et accompagne l’entreprise à chaque stade de sa maturité data. Pour cela, il est essentiel d’utiliser un outil adapté, de définir des règles établies, et de documenter les mappages des données avec rigueur et méthode.

La cartographie devient alors bien plus qu’une obligation : elle incarne un levier stratégique pour sécuriser, valoriser et gouverner son patrimoine informationnel. Elle s’inscrit dans une démarche d’amélioration continue des entreprises, nécessitant rigueur, méthode claire et outils adaptés.

Ressources complémentaires

 

  • CNIL : Guide sur le registre de traitements
  • ANSSI : Bonnes pratiques en cybersécurité
  • Formations : MOOC RGPD, ISO 27001, data management

 

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