Charte informatique : un outil essentiel pour encadrer l’usage du numérique en entreprise

10/07/2025

 

 


 

Les technologies numériques sont devenues omniprésentes dans toutes les organisations, des petites entreprises aux administrations publiques. Le travail à distance, l’utilisation accrue d’Internet et la manipulation massive de données ont fait émerger de nouveaux risques pour la sécurité et la confidentialité.

💡 Dans ce contexte, il apparaît indispensable de fixer des règles claires quant à l’usage des outils informatiques en milieu professionnel.

La charte informatique répond justement à ce besoin : elle définit les bonnes pratiques, droits et obligations liés aux systèmes d’information, tout en aidant à protéger les données de l’entreprise. Décryptons ensemble ce qu’est une charte informatique, à quoi elle sert, comment la mettre en place efficacement et pourquoi elle est fortement recommandée, notamment du point de vue de la protection des données personnelles.

Qu’est-ce qu’une charte informatique ?

Une charte informatique est un document interne qui formalise les règles d’utilisation des ressources informatiques et numériques mises à disposition au sein d’une organisation (entreprise privée, association, organisme public, etc.). C’est un véritable instrument juridique qui définit les conditions générales d’usage des systèmes d’information et de communication (ordinateurs, réseau Internet, messagerie électronique, logiciels, téléphones, etc.) et informe les utilisateurs – généralement les salariés – de leurs droits et obligations lorsqu’ils utilisent ces outils professionnels.

→ Par exemple, la charte va encadrer l’accès à Internet, l’utilisation de la messagerie professionnelle ou encore des logiciels de l’entreprise, en précisant ce qui est permis ou interdit.

Une bonne charte informatique est rédigée en termes simples et accessibles, de façon à être comprise par tous. Elle doit par ailleurs mentionner si l’entreprise met en place des dispositifs de contrôle ou de surveillance de l’activité des utilisateurs (comme un filtrage des emails ou un historique des sites web consultés), conformément au principe légal selon lequel « aucune information concernant personnellement un salarié ne peut être collectée par un dispositif qui n’a pas été porté préalablement à sa connaissance » (article L1222-4 Code du travail).

En résumé, la charte explique clairement ce qui est attendu de chaque utilisateur des outils numériques de l’organisation, et ce qu’il risque en cas de manquement aux règles.

À quoi sert une charte informatique ?

Instaurer une charte informatique poursuit plusieurs objectifs fondamentaux pour l’organisation :

🔒 Sécurité des données et du système d’information

La charte contribue à protéger les informations que l’entreprise collecte et traite, en définissant des mesures de sécurité et des comportements à adopter pour éviter les incidents (fuite de données, virus, piratage, etc.). C’est un gage de sécurité juridique et technique qui formalise les bonnes pratiques à suivre pour préserver les données sensibles de l’entreprise.

ℹ️ Information et transparence

Elle informe les salariés sur les outils numériques mis à leur disposition et sur les éventuels dispositifs de surveillance ou de contrôle existants. Chaque utilisateur sait ainsi ce qu’il peut faire ou non (par exemple, consulter certains sites, utiliser sa messagerie pro à des fins personnelles…), et il est conscient des contrôles qui pourraient avoir lieu. Cette transparence permet de responsabiliser chacun et d’éviter les malentendus.

🚫 Prévention des abus et des comportements inappropriés

En posant des limites claires à l’utilisation des ressources informatiques, la charte prévient les usages contraires à l’intérêt de l’entreprise (navigation sur des sites interdits, téléchargements illégaux, divulgation non autorisée d’informations, etc.).

Elle précise également les sanctions disciplinaires applicables en cas de non-respect des règles établies. Ainsi, si un collaborateur adopte un comportement prohibé par la charte, l’employeur pourra le sanctionner sur une base solide et connue à l’avance.

💡 En somme, la charte informatique vise à sécuriser, informer et responsabiliser. Elle protège à la fois l’entreprise (en réduisant les risques juridiques et techniques) et les utilisateurs (qui savent ce qui est autorisé et ce qui ne l’est pas).

C’est pourquoi on la retrouve aujourd’hui dans tout type de structure, des startups aux grands groupes, en passant par les administrations : dès que l’on utilise des outils numériques, la charte informatique devient un atout précieux pour un usage maîtrisé et conforme aux règles.

Dans quels cas est-il nécessaire de mettre en place une charte informatique ?

Aucune loi n’impose formellement à une organisation d’adopter une charte informatique. Cependant, dans la pratique, ce document s’avère quasiment indispensable dès lors qu’on utilise des systèmes informatiques de manière régulière.

La Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL), le régulateur français des données personnelles, recommande vivement à toutes les organisations d’en adopter une. En particulier, si votre entreprise traite des données personnelles (clients, employés, usagers, etc.), la charte informatique est considérée comme un élément clé pour respecter le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) et sécuriser ces informations sensibles.

→ Autrement dit, dès qu’il y a un enjeu de protection de données ou de sécurité, il devient fortement conseillé de formaliser une charte.

Cette recommandation vaut pour tout type de structure, qu’il s’agisse d’une entreprise privée ou d’un organisme public. Les grandes entreprises et administrations, de par la taille de leurs effectifs et la sensibilité de leurs données, ont tout intérêt à encadrer strictement les usages numériques. Mais les plus petites entreprises ne sont pas épargnées pour autant : une PME de 10 salariés utilisant Internet et gérant des données clients aurait aussi intérêt à fixer quelques règles écrites, ne serait-ce que pour sensibiliser son équipe et se prémunir contre des imprudences.

→ Par exemple, un employé qui clique sur un lien infecté par un malware ou qui réutilise un mot de passe facile peut mettre en danger toute l’entreprise – la charte sert justement à éduquer et responsabiliser sur ces points.

En somme, quelle que soit la taille ou le secteur, si vos collaborateurs utilisent des ordinateurs, smartphones, emails ou toute technologie numérique dans le cadre de leur travail, une charte informatique bien pensée sera utile pour prévenir les dérapages et protéger votre activité.

Comment élaborer sa charte informatique ?

📝 Procédure d’élaboration et consultation

L’initiative de rédiger une charte informatique appartient généralement à l’employeur, dans le cadre de son pouvoir d’organisation et de direction. Il s’agit d’une décision interne, qui ne requiert pas d’accord collectif formel (ce n’est pas un contrat négocié avec les salariés, mais une politique unilatérale définie par l’entreprise).

Néanmoins, la conception d’une charte efficace nécessite une approche pluridisciplinaire : il est recommandé d’associer plusieurs compétences en interne lors de sa rédaction. Par exemple, l’équipe informatique ou le responsable sécurité (RSSI) pourra identifier les mesures techniques à inclure, le service des ressources humaines veillera à la conformité avec le droit du travail, et éventuellement le DPO (délégué à la protection des données) s’assurera de l’alignement avec la réglementation RGPD.

Une analyse de risques en amont peut être utile afin de cerner les principaux points faibles du système d’information et d’adapter le contenu de la charte en conséquence. Cette phase préparatoire garantit que les règles fixées seront pertinentes, réalistes et adaptées aux besoins spécifiques de votre structure.

Dans les entreprises de plus grande taille disposant de représentants du personnel (Comité Social et Économique, par exemple), il est conseillé – et parfois légalement requis – de consulter ces instances avant la mise en place de la charte.

→ En pratique, si l’on choisit d’adosser la charte informatique au règlement intérieur de l’entreprise, la procédure suivra celle du règlement intérieur : sollicitation de l’avis du CSE, dépôt du document au greffe du conseil de prud’hommes, transmission à l’inspection du travail, puis communication aux salariés.

Ces formalités assurent la validité juridique de la charte et sa bonne appropriation par tous. Dans les structures plus petites où il n’existe pas de représentation du personnel formelle, l’employeur peut élaborer la charte de son côté, mais il devra veiller à la porter clairement à la connaissance de chaque collaborateur et à obtenir leur approbation (par exemple via une signature – manuscrite ou électronique – attestant qu’ils ont pris connaissance du document).

💭 Qualité rédactionnelle et contenu clair

Sur le fond comme sur la forme, la charte doit être rédigée de manière claire, pédagogique et non ambiguë. Évitez le jargon technique ou juridique inutile : l’objectif est que chaque utilisateur comprenne facilement ce qu’il peut ou ne peut pas faire.

Il peut être judicieux de définir précisément certains termes au début du document (par exemple ce qu’on entend par « système d’information », qui est l’« administrateur », quelles sont les « données sensibles », etc.) pour lever toute ambiguïté. Une charte trop vague ou trop complexe risquerait de ne pas être lue ou respectée. N’hésitez pas à illustrer des cas concrets autorisés ou interdits, afin de rendre le document plus parlant pour les employés.

Par ailleurs, pensez à adapter la charte à l’évolution des usages et des technologies. Par exemple, si le télétravail se développe dans votre structure, il sera pertinent d’y intégrer des règles spécifiques (sécurité des connexions Wi-Fi, usage d’équipements personnels, respect du droit à la déconnexion, etc.). De même, l’essor des réseaux sociaux, des applications de messagerie instantanée ou des outils de stockage en cloud dans un contexte professionnel peut nécessiter d’actualiser régulièrement la charte.

Idéalement, désignez un responsable (ou comité) chargé de la mise à jour périodique du document pour qu’il reste toujours en phase avec la réalité du terrain et les nouvelles obligations légales.

Que contient une charte informatique ?

Le contenu précis d’une charte informatique varie selon le contexte, l’activité et les risques propres à chaque organisation. Il n’existe pas de modèle universel, mais certains thèmes de base doivent absolument y figurer.

D’après les recommandations de la CNIL et de l’ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), une charte d’utilisation des ressources informatiques devrait au minimum couvrir les points suivants :

🎯 Objectif et champ d’application

La charte explique son but (par exemple, « préserver la sécurité du système d’information et encadrer les usages du numérique ») et précise son périmètre.

Il s’agit de définir qui est concerné (tous les salariés, y compris les utilisateurs occasionnels comme les stagiaires ou prestataires externes) et quoi est concerné : liste des équipements et services visés par les règles. Cela inclut généralement les postes de travail, le réseau et Internet, la messagerie professionnelle, les outils nomades (smartphones, ordinateurs portables, tablettes), les supports de stockage, etc.

À noter : il est recommandé d’indiquer que les appareils personnels connectés au réseau de l’entreprise (par exemple une clé USB ou un ordinateur personnel utilisé en télétravail) entrent également dans le champ d’application de la charte.

⚖️ Règles d’utilisation des outils informatiques

C’est le cœur du document. On y détaille les usages permis ou prohibés des moyens informatiques.

Par exemple :

  • quelles sortes de sites web sont tolérés pendant les pauses (et lesquels sont interdits : sites illégaux, à caractère pornographique ou dangereux, etc.) ;
  • dans quelle mesure l’usage à des fins personnelles des outils de travail est autorisé ;
  • les bonnes pratiques pour l’utilisation de la messagerie électronique professionnelle ;
  • les règles concernant l’installation de logiciels ou d’applications ;
  • l’utilisation des réseaux sociaux sur le lieu de travail ;
  • les consignes liées au télétravail.

L’ensemble de ces règles doivent être formulées de manière à prévenir les usages abusifs tout en respectant un certain équilibre.

🛡️ Obligations de sécurité et bonnes pratiques

La charte doit insister sur les devoirs de chaque utilisateur en matière de sécurité informatique.

Cela comprend notamment :

  • le respect de la politique de mots de passe ;
  • l’obligation de confidentialité ;
  • la sécurité physique des équipements ;
  • la réaction en cas d’incident.

En somme, chacun doit adopter un comportement responsable pour préserver la sécurité du système d’information. La charte peut également mentionner les règles spécifiques aux administrateurs ou techniciens.

👁️‍🗨️ Moyens de contrôle et surveillance éventuelle

Si l’organisation met en place des mesures de contrôle de l’utilisation des outils (filtrage automatique de sites, analyse des connexions, blocage d’installations non autorisées), la charte doit les lister et en informer clairement les utilisateurs.

Un principe légal fondamental est que toute surveillance doit être portée à la connaissance des personnes concernées. Il est important d’indiquer ce qui peut être surveillé (ex : « les sites visités peuvent être enregistrés », « les emails sont filtrés par un antivirus », etc.).

La charte peut aussi rappeler que l’usage de l’informatique est potentiellement tracé et que les utilisateurs doivent en être conscients. Il convient de trouver un équilibre entre sécurité de l’entreprise et respect de la vie privée (ex : seuls les usages professionnels sont contrôlés, les contenus identifiés comme « Personnels » ne sont pas ouverts sans la présence de l’intéressé).

🚨 Responsabilités et sanctions

La charte expose les conséquences d’un non-respect des règles. Tout utilisateur engage sa responsabilité et s’expose à des sanctions disciplinaires, allant de l’avertissement au licenciement pour faute grave.

Les sanctions doivent être proportionnées à la gravité de la violation. Par exemple, consulter Facebook brièvement ne justifie pas la même sanction qu’un vol massif de données.

La charte peut faire référence au règlement intérieur s’il existe, notamment pour l’échelle des sanctions. Elle peut aussi rappeler que certains abus peuvent engager la responsabilité pénale (téléchargement illégal, usage frauduleux de données personnelles, etc.).

Chaque charte peut intégrer d’autres clauses selon les besoins (ex : droit à la déconnexion, propriété intellectuelle).

L’essentiel est de couvrir les sujets critiques en fonction de la taille et de l’activité de la structure (ex : confidentialité des données patients dans un hôpital, protection du code source dans une startup).

Comment rendre la charte informatique opposable ?

Une charte, aussi complète et bien écrite soit-elle, ne produira d’effet que si elle a une véritable force contraignante vis-à-vis des utilisateurs. En d’autres termes, il faut qu’elle soit opposable, c’est-à-dire qu’on puisse s’en prévaloir légalement pour sanctionner un comportement fautif. Chaque personne concernée doit avoir accepté ou au minimum pris connaissance de la charte. Sinon, le document risque de n’avoir aucune valeur en cas de litige.

Il existe plusieurs moyens de conférer une force obligatoire à la charte :

🤝 Intégration au contrat de travail

On peut annexer la charte au contrat de travail remis à chaque salarié lors de l’embauche, ou faire signer un avenant aux salariés en poste. Cela la rend opposable comme toute clause contractuelle. L’inconvénient : cela nécessite une signature individuelle, ce que certains salariés peuvent refuser.

📜 Intégration au règlement intérieur

Pour les entreprises disposant d’un règlement intérieur (obligatoire à partir de 50 salariés), il est préférable de rattacher la charte à ce règlement. On peut l’y incorporer ou l’annexer. Cette méthode permet de la rendre applicable à tous sans démarche individuelle, dès lors que la procédure réglementaire est respectée (consultation du CSE, dépôt, publicité, etc.).

🖋️ Diffusion et recueil d’un accord individuel

En l’absence de règlement intérieur, ou en complément, l’employeur peut diffuser la charte et faire signer une approbation (papier ou électronique). Cette signature atteste que le salarié s’engage à respecter les règles. Il est important de conserver la preuve de cette approbation.

💡 La communication autour de la charte est primordiale. Présentez-la lors de l’onboarding, organisez des sessions d’explication, mettez-la à disposition permanente (intranet, affichage, livret d’accueil) et faites des rappels réguliers (ex : mémo annuel sur les bonnes pratiques).

⚠️ Un dernier point d’attention : les tiers externes ayant accès à votre système d’information doivent aussi s’engager à respecter la charte. Cela peut passer par une clause dans leurs contrats de service, obligeant les prestataires à informer leurs équipes des règles en vigueur.

Charte informatique et protection des données personnelles (RGPD)

La protection des données personnelles occupe aujourd’hui une place centrale dans les préoccupations des organisations, en particulier depuis l’entrée en vigueur du RGPD. À ce titre, la charte informatique joue un rôle crucial : elle est à la croisée du respect de la vie privée des utilisateurs, de la sécurité du système d’information et de la conformité légale.

D’un point de vue réglementaire, le RGPD impose aux entreprises et administrations de prendre des mesures techniques et organisationnelles appropriées pour garantir la sécurité des données qu’elles traitent.

Or, la première faille de sécurité est souvent humaine. Les salariés sont en première ligne face aux cyber-risques, il est donc indispensable de les impliquer activement dans la protection des données.

La charte informatique sert de vecteur de sensibilisation et de formation aux bonnes pratiques : confidentialité, chiffrement, signalement d’incidents, etc. Elle aide chacun à comprendre son rôle dans la conformité RGPD. La CNIL considère d’ailleurs la charte comme une mesure essentielle de sécurisation des données.

En cas de contrôle ou d’incident, disposer d’une charte et pouvoir démontrer que les employés ont été formés peut constituer un élément rassurant pour l’autorité. Elle s’inscrit dans le principe d’accountability du RGPD.

La charte doit aussi respecter les droits des personnes : dispositifs de surveillance proportionnés, respect des libertés fondamentales (correspondance privée, droit à la déconnexion, etc.). Il s’agit de trouver un juste équilibre entre sécurité, conformité et respect des employés.

En conclusion : un investissement précieux pour toutes les organisations

La charte informatique est un outil incontournable pour encadrer l’usage des technologies. Elle traduit des obligations légales en règles concrètes pour les collaborateurs. Elle protège votre structure sur les plans technique, juridique et éthique.

Chaque organisation a intérêt à adopter une charte adaptée à sa mesure. Si sa rédaction peut sembler fastidieuse, c’est un investissement sur le long terme. N’hésitez pas à vous appuyer sur les guides officiels (CNIL, ANSSI) ou à solliciter un accompagnement juridique. Une charte bien conçue est un gage de sérénité dans un monde numérique en constante évolution.

 

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